Le Conseil Général, inquiet sur l‘avenir d’Altis, s’interroge sur l’utilisation des subventions publiques depuis 2003. Il a écrit en ce sens au ministre des finances.
Certains élus du Conseil se posent la question de la suspension, voire du remboursement de ces aides, évoquent même la saisie des instances Européennes lorsqu’il s’agit de compétition entre Altis et Dresde.
L’ensemble des syndicats a été auditionné sur la pertinence des subventions dès 2003, le maintien des versements, le respect des engagements de la convention et le développement de la recherche chez Altis pour l’avenir.
Pour la CFTC, qui ne rentre pas dans le débat politique, il reste des interrogations. Aujourd’hui, la R&D existe chez Altis, insuffisante mais primordiale pour assurer l'avenir.
Pour la CFTC le remboursement de l’aide serait une erreur et ne ferait qu’aggraver la situation. Il faut néanmoins mieux encadrer les aides et vérifier qu’elles soient réellement bénéfiques pour l’emploi de façon durable!
3 commentaires:
Ca fait plaisir de se voir payer nos propres salaires, autant etre nos propres patrons.
Mais il est vrai qu'imposer le remboursement des sommes ne serait pas la meilleur des solutions pour le perenite du site.
Entendons nous et restons solidaire (si une fois nous l'avons ete).
Alors la ce sera la fin c'est sur il n'y aura plus rien à sauver
Rembourser les sommes qui ont servi à développer Altis...à un moment donné, ne servirait à rien, à part précipiter la chute. De toutes façons, les contribuables que nous sommes ne seront jamais remboursés!!! Et si on va de ce côté, combien d'entreprises, aidées par nos impots et qui ont par la suite gagné énormément d'argent, pourraient maintenant rembourser le Trésor Public?...
Le problème aujourd'hui n'est pas à la polémique sur l'utilisation des aides d'il y a quelques années (sinon il fallait s'en préoccuper avant) mais plutôt sur l'avenir de tous les salariés d'Altis ainsi que de tous les salariés des entreprises qui gravitent autour d'Altis.
Mesdames et Messieurs les délélégués, ne vous trompez pas de combat. Nous, salariés, comptons sur votre discernement. Merci à vous.
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