07 avril 2006

L’Intersyndicale d’Altis reçue par le Député Maire d’Evry Manuel Valls.

Le Député Maire d’Evry soucieux de l’avenir des salariés d’Altis a souhaité rencontrer les Syndicats d’Altis. Outre l’aspect social de la perte d’emploi pour 425 salariés, la rencontre a largement porté sur l’absence de consistance du projet industriel. Le fait qu’aucune mesure concrète, telle que des investissements ou l’accès aux technologies de nos actionnaires, absolument nécessaires à la production de l’entreprise, fait craindre pour l’avenir proche.
Sensible à cette analyse, le Député Maire d’Evry après avoir saisi le 1er ministre, envisage de prendre contact avec les actionnaires d’Altis que sont IBM et INFINEON.Communication CFTC Altis.

3 commentaires:

cftcaltis a dit…

RAPPEL:
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Anonyme a dit…

bonjour,
Je voudrai savoir ce que compte faire le gouvernement étant donné
que c'est lui qui à instauré les poles de compétitivité (altis en faisant partie).Nous sommes quand meme liés avec d'autres entreprises de l'essonnes?.
Est-il vrai qu'à dresde on demande au personnel pratiquant l'horaire 4x12 de s'abstenir de venir lorsqu'il y a moins de travail et inversement être plus présent lorsque la charge augmente ?.

En tout cas j'espère que cette fois les syndicats vont se battre pour tout le monde ceux qui partent (forcés ou non) et ceux qui restent et ne pas dire non à tout(1999).
J'ai toute confiance en vous,bien que je sache que les dés sont jetés.
Y'en a marre d'être pressé comme des citrons alors que nos dirigeants se complaisent dans leur suffisance et nous nargues avec leurs primes exhorbitantes
courage et optimisme !!!!!!!!!

cftcaltis a dit…

à Robin des Bois: j'aime bien le pseudo ..
Précision technique: cette particularité du modèle de Dresde dont vous parler n'est pas applicable en France.
les élus politiques que nous avons rencontrés la semaine passéé ne conçoivent pas le pôle de compétivité mondial system@tic sans Altis.
1999, votre jugement est dur avec les syndicats de l'époque, la négociation nécessite un bras de fer, sinon ... rien
La CFTC partage votre avis il faut bien évidemment penser d'abord à ceux qui vont rester: avoir un avenir et des conditions de travail acceptables. Et faire en sorte que ceux qui devront partir le fasse avec des mesures de reclassement, de formation et d'accompagnement suffisantes pour retrouver un emploi aussi satisfaisant que celui perdu.