26 avril 2012

FREESCALE FERMETURE PROLONGEE





21 commentaires:

Anonyme a dit…

Chacun de nos dirigeants devrait regarder le film "the company men", et en tirer les leçons.

Anonyme a dit…

t es naif !

Anonyme a dit…

quelques chiffres tirés du site infogreffe.fr:

31/12/2008
chiffre d'affaire : 316 970 k€
résultat : 17 262 k€
effectif : 1463

31/12/2007
chiffre d'affaire : 342 884 k€
résultat : 19 873 k€
effectif : 1731

31/12/2006
chiffre d'affaire : 403 163 876 k€
résultat 889 116 k€
effectif : 1852

ce que l'on peut voir, c'est que les effectifs diminuent, mais que le chiffre d'affaire fond aussi comme neige au soleil .......

Anonyme a dit…

Comment vous faites pour ne pas réagir , vous ne voyez pas que vous êtes condannés a finir comme chomeur après les élections présidentielles .

Vous avez accepté le dernier PSE sans broncher , je peux vous dire que le prochain va être dur dur , vous allez partir avec le minimum convention collective .
Même si vos syndicats ne sont pas à la hauteur de l'évènement , vous non plus ne l'êtes pas !!!
Quel est le % de syndiqués dans votre boite ?
A priori cela est tres tres faible , alors le patronat a les coudées franches et ne fera pas dans la dentelle , vous allez morfler sans même vous être battu pour votre emploi , c'est un choix que vous avez fait , je le respecte mais je pense que ce n'est pas le bon choix .

Bon courage a vous

Anonyme a dit…

En 1886, les premiers syndicats demandaient la journée de 8heures, à ALTIS c'est 12:15 payé 10, cherché l'erreur.

Anonyme a dit…

Repression en ligne . Que cherche les Managers ???

Anonyme a dit…

qUE CHERCHE LES MANAGERS?A FAIRE PETER LE PSY DES OPERATEURS ET LES VIRER POUR FAUTE.

Anonyme a dit…

Salut les altisiens
Essayer de prendre le temps de lire et arreter de chier dans vos bottes.
Contrôle des plans sociaux : verdict décisif aujourd'hui
La Cour de cassation rend aujourd'hui sa décision dans l'affaire Viveo, dont le plan social a été annulé par la justice. Sa décision, redoutée du patronat, pourrait limiter les marges de manoeuvre des entreprises tandis que les syndicats et la gauche craignent une vague de restructurations après les élections.


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Les DRH retiennent leur souffle. La Cour de cassation doit se prononcer aujourd'hui sur l'affaire Viveo, du nom de cet éditeur de logiciels dont le plan social (PSE, 64 salariés visés) a été annulé en 2010 par la cour d'appel de Paris au titre de motifs économiques insuffisants (« Les Echos » du 12 avril). Une première qui s'est depuis répétée avec les annulations des plans d'Ethicon (TGI de Nanterre) puis de Sodimédical (cour d'appel de Reims).

La Cour de cassation doit arbitrer si un juge civil est compétent pour se prononcer ainsi sur la motivation d'un PSE, ce que conteste le patronat. L'enjeu est de taille tant une confirmation de la décision de la cour d'appel de Paris pourrait réduire les marges de manoeuvre des entreprises, au moment même où la gauche et les syndicats craignent une vague de restructurations après l'élection présidentielle, notamment chez Air France, PSA ou à la SNCM.
« Autorisation judiciaire »

Les syndicats misent dessus pour renforcer la lutte contre les « licenciements boursiers ». Aujourd'hui, le Code du travail n'évoque l'annulation d'un PSE qu'en cas de non-respect de la procédure (information du comité d'entreprise...). Les contestations sur le fond n'interviennent qu'a posteriori, aux prud'hommes. Le risque n'est ainsi que pécuniaire : en cas de plan non justifié, une entreprise peut être condamnée à des dommages et intérêts mais pas à réintégrer les salariés licenciés. Or « elles se moquent d'être condamnées tant que la procédure n'est pas annulée », insiste la CFDT. « Anéantir le pouvoir du juge de vérifier en amont le fondement économique ouvrirait la porte au détournement de la loi de prévention des licenciements », ajoute la CGT.

A l'opposé, le Medef est vent debout contre la mise en place d'une telle « autorisation judiciaire des licenciements ». Selon lui, elle ouvrirait la voie à « une saisine systématique du juge » et pousserait les entreprises « à attendre d'être au bord du dépôt de bilan plutôt qu'à anticiper des mesures de redressement, de crainte de s'exposer au risque d'une annulation ». Avec au final davantage d'emplois détruits faute d'avoir pu redresser à temps sa compétitivité, un risque que pointe aussi le ministère du Travail. Avosial, le syndicat des avocats d'entreprise, a écrit en février aux candidats à la présidentielle pour s'alarmer de cette « révolution aux conséquences économiques catastrophiques », comme l'explique un de ses reprénsentants, Stéphane Béal (cabinet Fidal).

Seul François Hollande a répondu par écrit en tentant de trouver un juste milieu entre aspirations des syndicats et besoins des entreprises. Il commence ainsi par souligner que la législation actuelle sur le motif économique de licenciement est « satisfaisante », « donne aux entreprises la latitude nécessaire pour les restructurations » et qu'il n'est « pas utile de modifier ce cadre ». Mais il ajoute que les « plans de licenciement de pure convenance par des entreprises florissantes » ne sont « pas acceptables » et que « la puissance publique doit alors pouvoir faire respecter l'intérêt général ». Il veut donner la possibilité au comité d'entreprise de « saisir le juge judiciaire en référé » quand un PSE est lancé « en l'absence de toute menace sur la compétitivité », mais précise que de tels cas resteront « très minoritaires »
Le grand marabout

Anonyme a dit…

Une bonne gréve ne pas reprendre le travail aprés le chomage et faire diminuer le stock cela s'apelle de la stratégie, nous avons le pouvoir car nous fabriquons les pieces....quand aux vacances de cet été tout le monde en maladie a méditer

Anonyme a dit…

Les managers cherchent a garder leurs jobs,la plupart d’entre eux seront licenciés en fin d’année. Dommage pour nous car je pense qu’il restera que les plus bourins

Anonyme a dit…

Que se soit de droite ou de gauche,une entreprise qui n'a pas suffisamment d'argent fermera ,les patrons se moquent totalement des politiques.Ils sont libres a part bien evidemment les entreprises du CAC 40.Mais une boite comme ALTIS n'est maintenant qu'une banale PME.

Anonyme a dit…

Vous voyez a altis on est comme dans une arene,le taureau se fait piquer de tous les cotés,et le coup de grace arrive a la finale.

Anonyme a dit…

messieurs les syndicats, vous n'avez donc rien d'autre a nous dire?Vous nous parlez de Freescale mais faudrait d'abord parler de "nous" avant.....

Anonyme a dit…

LA GAUCHE EST LA DONC ADIEU ALTIS

Anonyme a dit…

Anonyme 6/5/12, développez votre affirmation, svp ( à savoir les raisons )

Anonyme a dit…

Anonyme 6/5/12, développez votre affirmation, svp ( à savoir les raisons )

Anonyme a dit…

Droite, régime capitaliste ce qui engendre magouille entre élu (SARKO SABEG DASSAULT),pourquoi le pret OSEO a été accepté ESTROZY était contre car aucune viabilité sur le projet industriel,mais accepté sur le tard comme par hasard.L'etat ne va pas continuer a subventionner des entreprises qui sont sur le déclin.Voila la raison pour laquelle ALTIS va bientot péricliter,pour conserver les emplois ils vont peut etre faire comme la centrale qu'ils vont fermer,former les ouvriers pour le démantellement.

Anonyme a dit…

a anonyme 6/5/12 :
La fin d'Altis est programmée depuis bien longtemps , même si sarko avait été réélu ça n'aurait rien changé et l'arrivée de la gauche ne changera rien non plus , à la fin de l'année ou en début d'année prochaine un PSE sera annoncé avec un grand nombre de suppression d'emploi et après , peut-être encore quelques mois , le fermeture sera innévitable .

Le soit disant projet insdustriel proposé lors du dernier PSE n'était pas viable et annonçait clairement la couleur .
Quel gachis , cette usine avait pourtant des atouts extraordinaires , des compétances très élévées , mais malheureusement des financiers ont décidé autrement , c'est beaucoup plus rentable de fabriquer en Asie !!!

ribouldingue a dit…

La saison des plans sociaux est ouverte.

Et nous ?

Les plans de restructuration pourraient se multiplier dans les semaines à venir, le paysage politique étant désormais dégagé. Quelles entreprises en mauvaise santé vont en faire les frais et pourquoi? Eléments de réponse...

http://www.20minutes.fr/economie/930111-saison-plans-sociaux-ouverte

Anonyme a dit…

Notre ami WALLS est maintenant au gouvernement,il va bien faire quelque chose pour ALTIS non ?

Anonyme a dit…

rien dans la tete les français...