Les négociaitions ne sont pas suspendues!!! (accord de toutes les OS)
Un nouveau calendrier est établi: 1 réunion tous les 15 jours:
10, 24 septembre, et 8 octobre
Site d'actualité sociale créé, animé et mis à jour par l'équipe CFTC Altis Semiconductor
27 août 2009
26 août 2009
Compte-Rendu du CE du 25 Aout 2009
1- Information de la direction sur le projet de reprise d’Altis :
La direction, les actionnaires, et les futurs repreneurs et investisseurs font tout pour finaliser le projet MBO.
Le pacte des actionnaires est à nouveau repoussé de 3 mois en plus des 2 mois déjà acquis, soit au 31 Mai 2010.
Il n’y a toujours pas date précise de closing, notre directeur ne souhaitant pas en donner tant que celle-ci ne sera pas officialisée, afin d’éviter de nouveau les "erreurs de communication" qui ont provoqué dans un passé proche une accentuation de la tension du personnel.
Pour rappel, la mise en place des 12 heures ne pourra être effective que 3 mois après le closing.
De même la densification ne pourra être effectuée qu’après le closing, le budget alloué étant pris sur les fonds du nouvel Altis. Ce qui était prévisible compte tenu du « chantage politique » que nous subissons.
2- Point sur la charge (PIC) :
La charge devrait rester relativement stable dans les mois qui viennent pour diminuer en
Décembre.
3- Calendrier des négociations :
La direction a fait une proposition devant être débattue en inter-syndicale.
Ce point sera traité au CN2A du 27 Août.
4- Avis du CE sur le départ du Médecin du Travail :
Le CE, tout en le déplorant, a émis un avis favorable au départ volontaire
du Dr. GREGORI. Une déclaration a été faite par toutes les OS (voir la nôtre
ci-jointe). Le service médical se trouve encore affaibli (après l'arret du servce le WE)
Declaration CFTC sur le départ du Dr GREGORI:
La C.F.T.C. prend note de la volonté de départ de Mme Patricia GREGORI, médecin du travail. La C.F.T.C. souhaite ardemment le remplacement de celle-ci compte tenu du contexte actuel.
En effet, comme il a été évoqué, sans réelle surprise malheureusement, par le biais du C.H.S.C.T., les risques psycho-sociaux ont fortement augmenté ces dernières années aux seins de notre société.
La C.F.T.C. insiste donc, et restera vigilante, quant au remplacement rapide de ce poste de médecin du travail.
La C.F.T.C. tient à remercier Mme Patricia GREGORI pour son travail et implication au sein de la société ALTIS S.C. et lui souhaite bon courage pour la suite de sa carrière.
La direction, les actionnaires, et les futurs repreneurs et investisseurs font tout pour finaliser le projet MBO.
Le pacte des actionnaires est à nouveau repoussé de 3 mois en plus des 2 mois déjà acquis, soit au 31 Mai 2010.
Il n’y a toujours pas date précise de closing, notre directeur ne souhaitant pas en donner tant que celle-ci ne sera pas officialisée, afin d’éviter de nouveau les "erreurs de communication" qui ont provoqué dans un passé proche une accentuation de la tension du personnel.
Pour rappel, la mise en place des 12 heures ne pourra être effective que 3 mois après le closing.
De même la densification ne pourra être effectuée qu’après le closing, le budget alloué étant pris sur les fonds du nouvel Altis. Ce qui était prévisible compte tenu du « chantage politique » que nous subissons.
2- Point sur la charge (PIC) :
La charge devrait rester relativement stable dans les mois qui viennent pour diminuer en
Décembre.
3- Calendrier des négociations :
La direction a fait une proposition devant être débattue en inter-syndicale.
Ce point sera traité au CN2A du 27 Août.
4- Avis du CE sur le départ du Médecin du Travail :
Le CE, tout en le déplorant, a émis un avis favorable au départ volontaire
du Dr. GREGORI. Une déclaration a été faite par toutes les OS (voir la nôtre
ci-jointe). Le service médical se trouve encore affaibli (après l'arret du servce le WE)
Declaration CFTC sur le départ du Dr GREGORI:
La C.F.T.C. prend note de la volonté de départ de Mme Patricia GREGORI, médecin du travail. La C.F.T.C. souhaite ardemment le remplacement de celle-ci compte tenu du contexte actuel.
En effet, comme il a été évoqué, sans réelle surprise malheureusement, par le biais du C.H.S.C.T., les risques psycho-sociaux ont fortement augmenté ces dernières années aux seins de notre société.
La C.F.T.C. insiste donc, et restera vigilante, quant au remplacement rapide de ce poste de médecin du travail.
La C.F.T.C. tient à remercier Mme Patricia GREGORI pour son travail et implication au sein de la société ALTIS S.C. et lui souhaite bon courage pour la suite de sa carrière.
20 août 2009
Les cadres subissent la crise de plein fouet
Sur un an, les offres d'emploi les concernant ont baissé d'un tiers. Soit deux fois plus comparé aux années 1990-93 ou à la récession de 2002-2003 après l'éclatement de la bulle Internet
Pour lire la suite : source Libération http://www.liberation.fr/economie/0101586051-les-cadres-subissent-la-crise-de-plein-fouet
18 août 2009
Infineon : le marché spécule sur l'entrée de Sistema au capital
L'action du fabricant de semi-conducteurs a clôturé en hausse de 4,85 %, à 3,24 euros vendredi soir après avoir gagné près de 6,5 % en séance après un article de presse évoquant une possible entrée du conglomérat russe Sistema au capital du groupe allemand. Le quotidien russe Kommersant a ainsi cité plusieurs sources selon lesquelles Sistema pourrait prendre une participation dans Infineon dans le cadre d'une alliance stratégique.
Source : http://www.agefi.fr/articles/Infineon-marche-specule-entree-Sistema-capital-1103779.html
Et oui pourquoi s'offrir Altis quand on peut s'offrir plus gros.
Source : http://www.agefi.fr/articles/Infineon-marche-specule-entree-Sistema-capital-1103779.html
Et oui pourquoi s'offrir Altis quand on peut s'offrir plus gros.
14 août 2009
COMMISSION DU CHSCT DU 14 AOUT 2009 SUR LES CONDITIONS DE TRAVAIL
Que cherche la direction ?
Est-ce pour préparer le futur PSE ?
Est-ce pour mieux préparer le ‘volontariat’ lié à la cartographie ?
Plusieurs retours pour des problèmes de pression sur le personnel ont été remontés au niveau des différentes organisations syndicales.
Refus de congés, dépréciation, mise en garde, harcèlement, …………..
Malgré le flou persistant dans lequel se trouve l’usine aujourd’hui notre hiérarchie continue à mettre la pression sur toute ou partie du personnel déjà en état
de TROUBLE, de MAL ETRE PROFESSIONNEL et de STRESS.
Pour rappel dans les rapports annuels de la médecine du travail Altis, les médecins ont fait part de leur inquiétude vis-à-vis des risques psychosociaux liés à la situation de l’entreprise.
Si vous êtes victime de pression ou si tout simplement vous avez besoin de parler de votre situation, nous vous conseillons la démarche suivante :
Allez au service médical
Rapprochez-vous des organisations syndicales si vous le souhaitez
Ces deux structures sont là pour être à votre écoute.
Le pire de tout est de rester seul face à ce genre de problème.
La hiérarchie cherche à isoler les gens pour mieux les déstabiliser.
SOYONS SOLIDAIRES ET NE LAISSONS PAS LES PERSONNES SEULES
10 août 2009
Lettre de F.MARLIN à Ch.ESTROSI,ministre de l'industrie
Franc k MARLIN
Député de l'Essonne
Maire d'Étampes
Paris, le 22 juillet 2009
Monsieur le Ministre,
Je souhaite à nouveau vous faire part de mes plus vives préoccupations relatives à la situation de la société ALTIS, située à CORBEIL-ESSONNES-- LE COUDRAY-MONTCEAUXComme je vous l’indiquais dans mon courrier du 24 juin dernier, il s’agit d’un dossier extrêmement sensible sur lequel les services de Madame le Ministre de l’Economie, de l’industrie et de l’Emploi, ainsi que de ses prédécesseurs et les vôtres étaient mobilisés depuis plusieurs années.
En effet, début 2006, cette société a procédé à une restructuration, qui s’est traduite par la suppression de 321 postes sur 1946.
En outre, à cette même période, les actionnaires, IBM et Infinéon, ont annoncé leur retrait pour l’année 2009.
Depuis, il a été recherché des repreneurs pour cette entreprise qui représentait plus de la moitié de l'activité des semi-conducteurs en France et un savoir-faire exceptionnel en Europe.
L’an passé, une reprise par un groupe russe a été longuement envisagée et a été abandonnée récemment.
La direction d’Altis a alors fait connaître une nouvelle possibilité de reprise « franco française ». Un plan assorti à une suppression de 400 emplois dont les conditions d’indemnisation indignes ont été à la source d’un mouvement de grève total, unique en 20 ans d’activité, qui vient de s’achever après d’âpres et difficiles négociations.
D’une manière générale, force est déplorer l’attitude méprisante de la direction et de ses actionnaires envers leurs salariés, en entretenant le flou le plus total sur l’avenir de cette société, de ses activités et de ses emplois.
Car aujourd’hui, une fois encore, le délai de reprise fixé jusqu’alors au 30 juin vient d’être repoussé, sans autre détail.
Dès lors, comment ne pas s’interroger sur l’existence même d’un projet industriel, sur l’existence d’éventuels repreneurs voire sur une fermeture programmée?
C’est la raison pour laquelle, le 15 juin dernier, j’avais sollicité auprès de Monsieur le Premier ministre l’organisation d’une réunion, notamment en présence des dirigeants d’Altis, des actionnaires et des organisations syndicales, afin que les salariés soient enfin pleinement informés.
Car cette absence de discours de vérité envers ces derniers n’a que trop duré, et il est d’ailleurs à craindre que la rentrée prochaine soit extrêmement tendue.
D’ailleurs, dès à présent, les forces syndicales se mobilisent pour durcir un mouvement qui, n’en doutons pas, s’acheminera vers une situation des plus conflictuelles, d’autant qu’il se déroulera dans un cadre politique, celui des élections municipales à Corbeil-Essonnes.
Plus que jamais, les employés d’Altis, les représentations syndicales et les élus locaux comptent donc sur l’action du Gouvernement pour tout mettre en oeuvre afin de préserver l'activité de cette entreprise et l’industrie dans ce secteur.
Et je sais pouvoir compter sur vous pour agir en ce sens, et d’avance, je vous en remercie. Je vous prie d’agréer, Monsieur le Ministre, l’expression de ma haute considération.
Député de l'Essonne
Maire d'Étampes
Paris, le 22 juillet 2009
Monsieur le Ministre,
Je souhaite à nouveau vous faire part de mes plus vives préoccupations relatives à la situation de la société ALTIS, située à CORBEIL-ESSONNES-- LE COUDRAY-MONTCEAUXComme je vous l’indiquais dans mon courrier du 24 juin dernier, il s’agit d’un dossier extrêmement sensible sur lequel les services de Madame le Ministre de l’Economie, de l’industrie et de l’Emploi, ainsi que de ses prédécesseurs et les vôtres étaient mobilisés depuis plusieurs années.
En effet, début 2006, cette société a procédé à une restructuration, qui s’est traduite par la suppression de 321 postes sur 1946.
En outre, à cette même période, les actionnaires, IBM et Infinéon, ont annoncé leur retrait pour l’année 2009.
Depuis, il a été recherché des repreneurs pour cette entreprise qui représentait plus de la moitié de l'activité des semi-conducteurs en France et un savoir-faire exceptionnel en Europe.
L’an passé, une reprise par un groupe russe a été longuement envisagée et a été abandonnée récemment.
La direction d’Altis a alors fait connaître une nouvelle possibilité de reprise « franco française ». Un plan assorti à une suppression de 400 emplois dont les conditions d’indemnisation indignes ont été à la source d’un mouvement de grève total, unique en 20 ans d’activité, qui vient de s’achever après d’âpres et difficiles négociations.
D’une manière générale, force est déplorer l’attitude méprisante de la direction et de ses actionnaires envers leurs salariés, en entretenant le flou le plus total sur l’avenir de cette société, de ses activités et de ses emplois.
Car aujourd’hui, une fois encore, le délai de reprise fixé jusqu’alors au 30 juin vient d’être repoussé, sans autre détail.
Dès lors, comment ne pas s’interroger sur l’existence même d’un projet industriel, sur l’existence d’éventuels repreneurs voire sur une fermeture programmée?
C’est la raison pour laquelle, le 15 juin dernier, j’avais sollicité auprès de Monsieur le Premier ministre l’organisation d’une réunion, notamment en présence des dirigeants d’Altis, des actionnaires et des organisations syndicales, afin que les salariés soient enfin pleinement informés.
Car cette absence de discours de vérité envers ces derniers n’a que trop duré, et il est d’ailleurs à craindre que la rentrée prochaine soit extrêmement tendue.
D’ailleurs, dès à présent, les forces syndicales se mobilisent pour durcir un mouvement qui, n’en doutons pas, s’acheminera vers une situation des plus conflictuelles, d’autant qu’il se déroulera dans un cadre politique, celui des élections municipales à Corbeil-Essonnes.
Plus que jamais, les employés d’Altis, les représentations syndicales et les élus locaux comptent donc sur l’action du Gouvernement pour tout mettre en oeuvre afin de préserver l'activité de cette entreprise et l’industrie dans ce secteur.
Et je sais pouvoir compter sur vous pour agir en ce sens, et d’avance, je vous en remercie. Je vous prie d’agréer, Monsieur le Ministre, l’expression de ma haute considération.
Elpida reprendra les activités mémoire vidéo de Qimonda
Brève Business Informatique Publiée par Alexandre Laurent le Jeudi 6 Août 2009
Le japonais Elpida a annoncé jeudi qu'il comptait racheter début 2010 les activités de l'allemand Qimonda, placé sous le régime des faillites depuis le mois de janvier. A l'issue de cette transaction, il reprendrait à son compte et développerait les activités que conduisait la filiale mémoire d'Infineon dans le domaine de la mémoire vive à destination des cartes graphiques (GDDR).
Elpida emploie déjà une cinquantaine d'ingénieurs issus de Qimonda dans un centre de recherche et de design situé à Munich. La production serait dans un premier temps sous-traitée au taïwanais Winbond. Le montant de la transaction n'a pas été dévoilé.
Elle ne devrait cependant pas chambouler le classement des spécialistes de la mémoire vive, dans la mesure où la mémoire vidéo représente environ 4% du volume global du marché de la mémoire vive. Cette diversification permettra toutefois à Elpida, numéro 3, de renforcer ses positions par rapport à Hynix, numéro 2, et Samsung, et de mieux lutter contre les fluctuations du marché en étant présent sur tous les pans du secteur de la mémoire vive.
Dans un premier temps, Elpida envisagerait de se concentrer sur des modules de 1 Gb de GDDR3 et de GDDR5, avant d'enchainer sur des modules de 2 Gb de GDDR5 qui seront produits dans son usine d'Hiroshima, au Japon, dans le courant de l'année 2010.
Le japonais Elpida a annoncé jeudi qu'il comptait racheter début 2010 les activités de l'allemand Qimonda, placé sous le régime des faillites depuis le mois de janvier. A l'issue de cette transaction, il reprendrait à son compte et développerait les activités que conduisait la filiale mémoire d'Infineon dans le domaine de la mémoire vive à destination des cartes graphiques (GDDR).
Elpida emploie déjà une cinquantaine d'ingénieurs issus de Qimonda dans un centre de recherche et de design situé à Munich. La production serait dans un premier temps sous-traitée au taïwanais Winbond. Le montant de la transaction n'a pas été dévoilé.
Elle ne devrait cependant pas chambouler le classement des spécialistes de la mémoire vive, dans la mesure où la mémoire vidéo représente environ 4% du volume global du marché de la mémoire vive. Cette diversification permettra toutefois à Elpida, numéro 3, de renforcer ses positions par rapport à Hynix, numéro 2, et Samsung, et de mieux lutter contre les fluctuations du marché en étant présent sur tous les pans du secteur de la mémoire vive.
Dans un premier temps, Elpida envisagerait de se concentrer sur des modules de 1 Gb de GDDR3 et de GDDR5, avant d'enchainer sur des modules de 2 Gb de GDDR5 qui seront produits dans son usine d'Hiroshima, au Japon, dans le courant de l'année 2010.
06 août 2009
Infineon assure son sauvetage en se passant presque du fonds Appolo
[ 04/08/09 - 14H03 - AFP ]
Le groupe allemand de semi-conducteurs Infineon a annoncé mardi avoir réussi à placer l'augmentation de capital réservée indispensable à sa survie en se passant quasiment de l'aide du fonds d'investissement Appolo, potentiel grand actionnaire.
Le fonds de capital-investissement (private equity) a accepté de se contenter d'une part de 1,3% environ du capital pour un prix d'environ 30 millions d'euros, a indiqué la société dans un communiqué, alors qu'il en convoitait au départ entre 15 et 30%.
Appolo s'était porté garant de l'augmentation de capital, en s'engageant à la souscrire en totalité si elle était boudée par les actionnaires existants, ce qui n'a pas été le cas.
Ces derniers ont en effet souscrit la quasi-totalité de l'opération, dont le montant total atteint environ 725 millions d'euros. Le cours de Bourse d'Infineon, qui évoluait jeudi à environ 2,90 euros soit bien au-dessus du prix de 2,15 euros par action offert par l'augmentation de capital, a incité les actionnaires actuels à participer.
"Nos actionnaires ont manifesté leur grande confiance dans Infineon", a commenté une porte-parole de la société.
Le produit de l'augmentation de capital doit permettre à Infineon, en mauvaise posture financière, de refinancer certaines dettes.
Le fabricant de semi-conducteurs traverse une mauvaise passe, sur fond de dégringolade des prix sur ses marchés, et de crise de l'industrie automobile, grande cliente de ses composants.
Infineon a engagé une sévère restructuration, en lâchant notamment sa filiale de fabrication de mémoires informatiques Qimonda, désormais en faillite.
Le groupe allemand de semi-conducteurs Infineon a annoncé mardi avoir réussi à placer l'augmentation de capital réservée indispensable à sa survie en se passant quasiment de l'aide du fonds d'investissement Appolo, potentiel grand actionnaire.
Le fonds de capital-investissement (private equity) a accepté de se contenter d'une part de 1,3% environ du capital pour un prix d'environ 30 millions d'euros, a indiqué la société dans un communiqué, alors qu'il en convoitait au départ entre 15 et 30%.
Appolo s'était porté garant de l'augmentation de capital, en s'engageant à la souscrire en totalité si elle était boudée par les actionnaires existants, ce qui n'a pas été le cas.
Ces derniers ont en effet souscrit la quasi-totalité de l'opération, dont le montant total atteint environ 725 millions d'euros. Le cours de Bourse d'Infineon, qui évoluait jeudi à environ 2,90 euros soit bien au-dessus du prix de 2,15 euros par action offert par l'augmentation de capital, a incité les actionnaires actuels à participer.
"Nos actionnaires ont manifesté leur grande confiance dans Infineon", a commenté une porte-parole de la société.
Le produit de l'augmentation de capital doit permettre à Infineon, en mauvaise posture financière, de refinancer certaines dettes.
Le fabricant de semi-conducteurs traverse une mauvaise passe, sur fond de dégringolade des prix sur ses marchés, et de crise de l'industrie automobile, grande cliente de ses composants.
Infineon a engagé une sévère restructuration, en lâchant notamment sa filiale de fabrication de mémoires informatiques Qimonda, désormais en faillite.
Inscription à :
Articles (Atom)