Lors de la réunion en inter-syndicale du 30 Mars, l' action de mobilisation de 2h le 2 Avril prochain, proposée par la CFTC, n'a pas été jugée oportune par l'ensemble des autres OS.
La situation d'ALTIS éxige une UNITE entre les organisations syndicales, pour les échéances à venir (plan social?)
La CFTC ne fera pas appel seule à mouvement avant le CE du 6 Avril afin de ne pas dissoudre l'inter-syndicale.
Site d'actualité sociale créé, animé et mis à jour par l'équipe CFTC Altis Semiconductor
31 mars 2009
27 mars 2009
CE EXCEPTIONNEL
Le CE exceptionnel n'aura pas lieu le 31/03/09, la direction le refuse après l'avoir proposé. Elle ne serait pas en mesure de nous informer !
La Direction a fixé le CE au 06 avril 2009
Les organisations syndicales préfèrent avoir des informations à vous communiquer et vous appellent à participer à l'Assemblée Générale dès la fin du CE à 15h00 devant le B2.
Le 27/03/09
La Direction a fixé le CE au 06 avril 2009
Les organisations syndicales préfèrent avoir des informations à vous communiquer et vous appellent à participer à l'Assemblée Générale dès la fin du CE à 15h00 devant le B2.
Le 27/03/09
25 mars 2009
COMMENT CONTACTER LA CFTC
On nous informe que la CFTC ne vient pas assez voir les salariés.
Le problème vient de l'organisation du travail en 5 équipes, + SD.
Aussi nous vous proposons de vous rencontrer à votre convenance en joignant les élus à travers de lotus notes.
Points de contact: Didier Lecas, Emmanuel Lhuillier, Philippe Gaudin, François Roig, Alain Coudray, Bruno Jamin, David Mention, Noel Thierry, Hervé Judith
23 mars 2009
20 mars 2009
COMMUNIQUE CFTC, CFDT, CGC, CGT
Les organisations syndicales ont été reçues la semaine dernière au Ministère de l’Industrie.
Il a été demandé que l’Etat intervienne de toute urgence sur le dossier d’Altis.
Seule date connue à ce jour le 31/12/2009, où au travers du pacte des actionnaires, IBM et IFX se désengagent d’Altis.
Le ministère n’a donné aucune information précise sur les négociations en cours pour une éventuelle reprise et fait porter la responsabilité de la situation angoissante pour les salariés sur les seuls actionnaires IBM et IFX au risque de privilégier comme seule perspective un PSE.
A ce jour les élus CE ont demandé un CE exceptionnel qui est fixé au 31 mars 2009.
Quelque soit le contenu, les élus du CE vous invitent à une assemblée générale dès le début d’après midi pour vous restituer les informations communiquées par la direction.
19 mars 2009
Atmel : accord social en cas de fermeture du site des Bouches-du-Rhône
Article dans Les Echos :
Les syndicats et la direction de l'usine des Bouches-du-Rhône du groupe de microélectronique américain Atmel ont trouvé mercredi un accord sur les conditions de départ de la majorité des salariés au cas où le site aurait à fermer ses portes, a-t-on appris de sources concordantes.Depuis début février, le site de Rousset, situé à l'Est d'Aix-en-Provence, est mis en vente. Au cas où la direction ne parviendrait pas à trouver un repreneur, les syndicats souhaitaient obtenir des garanties concernant les conditions de licenciement et de reclassement."Nous avons obtenu que le montant de la prime de licenciement soit porté de 23.000 à 34.000 euros pour chaque salarié et qu'il touchent 1,4 mois de salaire brut contre 1 mois par année d'ancienneté", négocié lors d'une précédente réunion, a indiqué à l'AFP, Jean-Yves Guerrini, délégué de la CFDT, syndicat majoritaire dans l'entreprise, à l'issue d'un comité d'entreprise."La durée de vie de la cellule de reclassement est passée de 4 à 9 mois", a ajouté M. Guerrini qui a précisé que ces conditions de départ concernaient 800 des quelque 1.300 salariés du site et qu'il se faisait fort d'obtenir les mêmes pour le reste du personnel."Nous restons persuadés que le site est viable et nous entendons garder cet outil de travail", a déclaré M. Guerrini. Selon lui, son syndicat, FO, la CFTC et Sud ont paraphé cet accord.La direction du site a confirmé les conditions de l'accord et indiqué qu'une majorité d'organisations syndicales représentatives l'avaient signé."Notre objectif reste surtout de trouver un repreneur mais nous voulions sécuriser les salariés", a expliqué à l'AFP Jean Vaylet, directeur général d'Atmel Rousset."Des offres se sont déclarées" pour reprendre le site, a-t-il affirmé sans vouloir en préciser la teneur, expliquant que le processus de reprise allait prendre du temps.M. Vaylet a convenu que ce processus aurait "peut-être été plus simple" dans un autre contexte économique mais a estimé que Rousset était "un site stratégique à moyen terme".
Les syndicats et la direction de l'usine des Bouches-du-Rhône du groupe de microélectronique américain Atmel ont trouvé mercredi un accord sur les conditions de départ de la majorité des salariés au cas où le site aurait à fermer ses portes, a-t-on appris de sources concordantes.Depuis début février, le site de Rousset, situé à l'Est d'Aix-en-Provence, est mis en vente. Au cas où la direction ne parviendrait pas à trouver un repreneur, les syndicats souhaitaient obtenir des garanties concernant les conditions de licenciement et de reclassement."Nous avons obtenu que le montant de la prime de licenciement soit porté de 23.000 à 34.000 euros pour chaque salarié et qu'il touchent 1,4 mois de salaire brut contre 1 mois par année d'ancienneté", négocié lors d'une précédente réunion, a indiqué à l'AFP, Jean-Yves Guerrini, délégué de la CFDT, syndicat majoritaire dans l'entreprise, à l'issue d'un comité d'entreprise."La durée de vie de la cellule de reclassement est passée de 4 à 9 mois", a ajouté M. Guerrini qui a précisé que ces conditions de départ concernaient 800 des quelque 1.300 salariés du site et qu'il se faisait fort d'obtenir les mêmes pour le reste du personnel."Nous restons persuadés que le site est viable et nous entendons garder cet outil de travail", a déclaré M. Guerrini. Selon lui, son syndicat, FO, la CFTC et Sud ont paraphé cet accord.La direction du site a confirmé les conditions de l'accord et indiqué qu'une majorité d'organisations syndicales représentatives l'avaient signé."Notre objectif reste surtout de trouver un repreneur mais nous voulions sécuriser les salariés", a expliqué à l'AFP Jean Vaylet, directeur général d'Atmel Rousset."Des offres se sont déclarées" pour reprendre le site, a-t-il affirmé sans vouloir en préciser la teneur, expliquant que le processus de reprise allait prendre du temps.M. Vaylet a convenu que ce processus aurait "peut-être été plus simple" dans un autre contexte économique mais a estimé que Rousset était "un site stratégique à moyen terme".
18 mars 2009
Réunion au cabinet du ministére de l'économie.
En préambule Luc CHATEL a rappelé la volonté du Président de la République d’avoir ces réflexions avec les partenaires sociaux sur les filières.
Secafi et Syndex ont présenté la situation des semi-conducteurs, situation dans le contexte mondial, état des lieux des entreprises en France, diagnostic et préconisations pour la filière (voir power-point).
Le ministre après avoir jugé la présentation des experts très complète, leurs préconisations très intéressantes à donné la parole aux représentants des Confédérations pour exprimer les préconisations de chaque organisation sur la filière.
Pour la CFTC, la Fédération de la Métallurgie a exprimé les positions suivantes :
La CFTC fait le constat que les semi-conducteurs, « les puces », s’intègrent dans la plupart des produits des industries civiles et militaires : communication, monétique, automobile, aviation, robotique, médical, grand public, énergie renouvelable etc ..
L’innovation et la qualité des composants et des solutions électroniques sont souvent un facteur déterminant dans l’attrait du produit final. Que serait aujourd’hui l’automobile sans ABS, ESP, GPS et capteurs de toutes sortes ..
La CFTC pense que la France doit en ce domaine jouir d’une certaine indépendance pour sa compétitivité et celle de ses entreprises. Une idée d’indépendance qui se renforce dès que l’on aborde les productions à destination de nos armées. Est-il acceptable de voir nombre de produits dit sensibles fabriqués hors de France, hors d’Europe ?
Pour la CFTC, il est urgent que la France et ses industriels du semi-conducteur aient une stratégie de conquête (même si cela peut être paradoxale en temps de crise) en s’appuyant sur :
les pôles de compétitivité,
les synergies lorsqu’elles sont possible,
l’utilisation des moyens de la recherche française (CEA, Leti..),
les grandes écoles d’Ingénieurs et les universités,
la volonté de garder le savoir faire en France, en Europe.
La CFTC croit que l’État doit y jouer un rôle important à travers sa politique d’aide aux entreprises, dans un domaine où l’investissement est primordial et conséquent.
La CFTC, la Fédération de la Métallurgie appelle donc de ses vœux une réflexion qui aille au-delà de la crise.
A la fin du tour de table sur les préconisations autour de la filière, le ministre signifie qu’il ne faut pas hésiter à l’alerter dès que l’on a des infos sur les trois entreprises en difficultés, Altis Atmel et MHS. (Il signifie également par là que ce n’est pas la réunion pour en parler spécifiquement) Il conclut :
En faisant le constat d’un bilan et d’une vision partagés, d’une réunion extrêmement constructive.
De la nécessité d’une stratégie globale de filière.
Le secteur fait partie des secteurs porteurs prioritaires et stratégiques pour l’avenir de l’industrie en France.
C’est un des quelques secteurs porteur pour la sortie de crise. (pas l’automobile)
L’État va s’y impliquer très fortement.
Un cabinet extérieur travaille pour le ministère sur la stratégie de la filière. Une restitution des travaux est attendue d’ici 6 semaines. Un engagement fort de l’ État se justifiera. Conformément à l’engagement du chef de l’ État les partenaires sociaux sont associés à ce travail et une prochaine réunion devrait avoir lieu en mai toujours en comité restreint.
L’application des mesures donnera lieu à la mise en place d’un comité de suivi.
15 mars 2009
Emploi et pouvoir d’achat : le compte n’y est toujours pas !
La crise est au cœur de notre quotidien, à des niveaux variés et avec des
implications diverses.
Le 29 janvier, la CFTC et les autres organisations syndicales ont lancé un message clair au gouvernement et au chef de l'Etat.
Lors du "sommet social" du 18 février, les solutions proposées n'ont pas
été à la hauteur de la gravité de la situation. Même si certains gestes ont
été faits en faveur des plus démunis.
été à la hauteur de la gravité de la situation. Même si certains gestes ont
été faits en faveur des plus démunis.
La CFTC est donc à nouveau dans la rue le 19 mars 2009 pour demander au
gouvernement et aux entreprises de s’engager résolument :
- POUR le maintien de l’emploi dans le public comme dans le privé
- POUR renouer les fils d’un dialogue constructif avec les syndicats
- POUR une réforme en profondeur du modèle économique
- POUR le conditionnement des exonérations de cotisations et des aides publiques au maintien des emplois, au refus des délocalisations et à la signature d’accords salariaux ou d’intéressement
- POUR une augmentation de la prime exceptionnelle pour les familles
CONTRE le développement de la précarité
CONTRE la smicardisation des salariés français
CONTRE une « financiarisation » excessive qui fragilise les entreprises
CONTRE la différence de traitements entre les salariés des grands groupes,
ceux des sous-traitants et des petites sociétés
- POUR une augmentation de la prime exceptionnelle pour les familles
CONTRE le développement de la précarité
CONTRE la smicardisation des salariés français
CONTRE une « financiarisation » excessive qui fragilise les entreprises
CONTRE la différence de traitements entre les salariés des grands groupes,
ceux des sous-traitants et des petites sociétés
14 mars 2009
Infinéon actionnaire d’Altis
Alors que depuis 2 ans tout va mal chez Infinéon et sa filiale à 75% Quimonda, qui vend cette année ses 2 usines aux US et a déposé le bilan en Allemagne (ultimatum de l’administrateur judicaire au 31 mars pour trouver un repreneur) est-il judicieux pour un fabricant de semi-conducteurs de financer un circuit automobile depuis des années ?
12 mars 2009
Intersyndicale des UD’s de l’Essonne à EVRY le 10 mars 09
La CFTC de l’Essonne est sur la position unitaire prise par les confédérations pour le mouvement du 19 mars.
La CFTC de l’Essonne ne s’associe pas au mouvement préprogrammé à Corbeil le 19 mars au matin. La CFTC préfère mobiliser sur la manifestation parisienne de l’après-midi pour une plus grande visibilité. Elle ne souhaite pas voir, par effet d’aubaine, de récupération politique notamment lié aux craintes sur Altis.
La CFTC travaille toujours et depuis longtemps sur ce dossier, comme à son habitude de manière constructive même si les échéances à venir pourraient lui faire changer de mode d’action.
Pour la CFTC de l’Essonne il ne doit pas y avoir pour le mouvement du 19 mars d’amalgame avec les problèmes de la prud’homie. Elle rappelle que le dialogue s’est rouvert avec la Chancellerie sur les sujets qui nous préoccupent.
Sur les sujets liés au mouvement du 19 mars la CFTC participera à la conférence de presse unitaire du 16 mars 11h30 à la bourse du travail d’Evry.
La CFTC de l’Essonne appel tous les militants CFTC à participer le plus nombreux possible à la manifestation parisienne du 19 mars, et à prendre contact avec l’UD, notamment pour la problématique du transport.
Pour la CFTC de l’Essonne il ne doit pas y avoir pour le mouvement du 19 mars d’amalgame avec les problèmes de la prud’homie. Elle rappelle que le dialogue s’est rouvert avec la Chancellerie sur les sujets qui nous préoccupent.
Sur les sujets liés au mouvement du 19 mars la CFTC participera à la conférence de presse unitaire du 16 mars 11h30 à la bourse du travail d’Evry.
La CFTC de l’Essonne appel tous les militants CFTC à participer le plus nombreux possible à la manifestation parisienne du 19 mars, et à prendre contact avec l’UD, notamment pour la problématique du transport.
Infineon annonce de nouvelles mesures de chômage partiel
Le fabricant allemand de semi-composants Infineon, en grandes difficultés, a annoncé mercredi de nouvelles mesures de chômage partiel, portant à environ 9.000 le nombre de salariés concernés en Allemagne.Les sites de Munich, Augsburg, Erlangen, Grossostheim, Hanovre, Nuremberg et Ulm sont concernés pendant une durée de six mois, selon un communiqué.En ajoutant les trois sites de Dresden, Regensburg et Warstein, qui fonctionnent depuis plusieurs semaines au ralenti, ce sont au total 9.000 salariés qui sont concernés, a précisé Infineon.Le fabricant de semi-conducteurs, déjà lourdement déficitaire, s'attend à une baisse d'entre 15 et 20% de son chiffre d'affaires cette année.
10 mars 2009
CE du 10 mars 2009
- Point sur le closing.
Les négociations sont toujours en cours, mais n’ont pas abouti pour l’instant.
Le directeur s’est engagé à communiquer sur le sujet avant fin Mars. Et il tentera de s’y tenir.
- Présentation du dernier PIC et explications sur le surcroît d'activité à court terme.
La direction explique la hausse du PIC actuel par des commandes de dernière minute et l’accélération des lots en cours. La C.F.T.C a interpellé la direction sur son inquiétude de voir se constituer des stocks chez Altis comme à Dresdes. La direction a démenti qu’il s’agit de réserve en vu d’un plan social.
- Explications sur la dépréciation totale d'Altis dans les comptes sociaux de la compagnie IBM France.
Fin 2008, le calcul de la dépréciation d’Altis dans les comptes sociaux est basée sur une analyse multicritère (théorique) .
Point sur la mobilité interne.
En 2008, il y a eu dans le premier semestre 3.4% de mobilité interne c'est-à-dire 45 personnes dont 15 managers. 5 nouveaux postes ont été ouverts en mobilité interne et 4 ont été pourvus.
Au deuxième semestre, il y a eu 1.5% de mobilité c'est-à-dire 15 personnes.
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