Vous avez dit CRISE?
La direction avait annoncé en octobre 2008 un plan salaire exceptionnel.
La réunion d’aujourd’hui fut exceptionnellement vide.
Raisons invoquées :
Contexte économique mondial ( scoop : c'est la criiiiiiise ) ,
prévisions de lancement chez Altis pour les 9 mois qui viennent ( pour accoucher de quoi ? ),
inflation à taux zéro pour 2009 ( sans blague ! ),
Bref , la direction n’a rien de nouveau à nous annoncer.
De plus elle ne veut même pas parler de la répartition pour les salaires inférieurs à 1750 €.
Donc rendez-vous le 12 janvier, merci et fin des « négociations » pour ce jour !
La CFTC reste déçue par le manque évident de reconnaissance du travail fournis par l’ensemble du personnel.
La CFTC espère que la prochaine fois,la direction viendra avec des propositions améliorées ( ce sera un minimum ), plus complètes et qu’il y aura enfin une réèlle négociation.
La CFTC en cette fin d’année difficile pour tous, vous souhaite de bonnes et joyeuses fêtes de fin d’année.
Votre équipe CFTC au CN2A : Mr Emmanuel Lhuiller, Mr Didier Lecas, Mr Philippe Gaudin, Mr Bruno Jamin.
Site d'actualité sociale créé, animé et mis à jour par l'équipe CFTC Altis Semiconductor
15 décembre 2008
12 décembre 2008
500 000 emplois dans les puces sont menacés en Europe
11 Dec 2008 -- Le figaro
Des industriels réclament une politique européenne plus volontariste face à l'Asie et aux États-Unis.
Un signal d'alarme a été tiré hier par Semi, une association internationale d'industriels qui fournit des équipements et des matériaux pour l'industrie des semi-conducteurs.
« Il est urgent de relancer une politique industrielle pour favoriser les investissements dans l'industrie des semi-conducteurs.
Sinon, un demi-million d'emplois risquent de disparaître en Europe » , déplore André-Jacques Auberton-Hervé, administrateur de Semi et PDG du fabricant français Soitec.
La situation est d'autant plus critique que ce marché mondial des équipements devrait reculer à 35,2 milliards de dollars l'an prochain, au plus bas niveau depuis six ans, contre 42,7 milliards en 2008, selon le cabinet iSuppli.
De plus, à cause de la délocalisation d'usines hors d'Europe, le secteur des « puces » vit déjà une hécatombe en termes d'emplois.
Le poids de ce secteur européen, au plan mondial, a déjà reculé de 21 % en 2001 à 17 % en 2007.
Et si « rien n'est fait, les emplois industriels seront transférés vers des pays d'Asie ou vers les États-Unis qui ont une politique industrielle plus volontariste que celle de l'Europe » , poursuit le PDG. Puisque « les différentes politiques, au moyen d'aides directes ou indirectes, sont très favorables aux implantations industrielles en Chine, en Corée du Sud, au Japon, à Singapour, à Taïwan et aux États-Unis, en particulier pour les États de New York et de Californie.
Nous devons disposer des mêmes outils pour inciter les industriels à s'implanter en Europe ou à y rester».
STMicroelectronics, par exemple, investit en Asie et réduit son poids en Italie et en France.
Enfin, il s'agit d'un domaine clé. Car «le secteur des semi-conducteurs emploie directement et indirectement autour de 650 000 postes en Europe.
Surtout, 90 % des innovations dans la santé, l'automobile, la fabrication d'avions, l'énergie ou l'électronique sont directement issues de l'innovation dans les semi-conducteurs, qui permet notamment d'intégrer un système sur une puce.
Si les entreprises de semi-conducteurs européennes continuent de perdre des emplois en Europe, tous les secteurs industriels seront pénalisés » . Il en va donc aussi des emplois du futur.
http://www.lefigaro.fr/societes/2008/12/11/04015-20081211ARTFIG00336--emplois-dans-les-puces-sont-menaces-.php
Des industriels réclament une politique européenne plus volontariste face à l'Asie et aux États-Unis.
Un signal d'alarme a été tiré hier par Semi, une association internationale d'industriels qui fournit des équipements et des matériaux pour l'industrie des semi-conducteurs.
« Il est urgent de relancer une politique industrielle pour favoriser les investissements dans l'industrie des semi-conducteurs.
Sinon, un demi-million d'emplois risquent de disparaître en Europe » , déplore André-Jacques Auberton-Hervé, administrateur de Semi et PDG du fabricant français Soitec.
La situation est d'autant plus critique que ce marché mondial des équipements devrait reculer à 35,2 milliards de dollars l'an prochain, au plus bas niveau depuis six ans, contre 42,7 milliards en 2008, selon le cabinet iSuppli.
De plus, à cause de la délocalisation d'usines hors d'Europe, le secteur des « puces » vit déjà une hécatombe en termes d'emplois.
Le poids de ce secteur européen, au plan mondial, a déjà reculé de 21 % en 2001 à 17 % en 2007.
Et si « rien n'est fait, les emplois industriels seront transférés vers des pays d'Asie ou vers les États-Unis qui ont une politique industrielle plus volontariste que celle de l'Europe » , poursuit le PDG. Puisque « les différentes politiques, au moyen d'aides directes ou indirectes, sont très favorables aux implantations industrielles en Chine, en Corée du Sud, au Japon, à Singapour, à Taïwan et aux États-Unis, en particulier pour les États de New York et de Californie.
Nous devons disposer des mêmes outils pour inciter les industriels à s'implanter en Europe ou à y rester».
STMicroelectronics, par exemple, investit en Asie et réduit son poids en Italie et en France.
Enfin, il s'agit d'un domaine clé. Car «le secteur des semi-conducteurs emploie directement et indirectement autour de 650 000 postes en Europe.
Surtout, 90 % des innovations dans la santé, l'automobile, la fabrication d'avions, l'énergie ou l'électronique sont directement issues de l'innovation dans les semi-conducteurs, qui permet notamment d'intégrer un système sur une puce.
Si les entreprises de semi-conducteurs européennes continuent de perdre des emplois en Europe, tous les secteurs industriels seront pénalisés » . Il en va donc aussi des emplois du futur.
http://www.lefigaro.fr/societes/2008/12/11/04015-20081211ARTFIG00336--emplois-dans-les-puces-sont-menaces-.php
10 décembre 2008
Infineon affiche une perte annuelle de 3,122 milliards d’euros
« ….Concernant Altis Semiconductor, sa filiale avec IBM, Infineon confirme qu’un nouveau partenaire s’est allié à Advanced Electronic Systems pour la reprise de l’entreprise. Soulignant que les négociations se poursuivent, Infineon indique néanmoins que l’issue de ces négociations reste pour l’instant incertaine.
Enfin, Infineon souligne qu’il n’est pas certain de pouvoir vendre sa participation dans Qimonda avant la fin de l’exercice fiscal 2009, comme il l’avait annoncé précédemment. La survie de Qimonda est posée….. »
Enfin, Infineon souligne qu’il n’est pas certain de pouvoir vendre sa participation dans Qimonda avant la fin de l’exercice fiscal 2009, comme il l’avait annoncé précédemment. La survie de Qimonda est posée….. »
08 décembre 2008
MERCI
191 voix sur 865 votants; soit 22% de suffrages pour la CFTC.
MERCI à tous pour la confiance que vous nous avez témoignée.
La CFTC reste et restera un syndicat de proximité.
MERCI à tous pour la confiance que vous nous avez témoignée.
La CFTC reste et restera un syndicat de proximité.
03 décembre 2008
Infineon voit l'avenir en noir (article les echos)
Le fabricant allemand de semi-conducteurs s'attend à une chute d'au moins 15% de son chiffre d'affaires et "un résultat négatif" en 2008-2009, après une perte nette de 3,1 milliards d'euros en 2007-2008. Il doute par ailleurs de la possibilité de céder sa filiale en difficultés Qimonda.
AFP
Un horizon très sombre. Infineon verra son chiffre d'affaires céder au moins 15% et son résultat net être négatif en 2008-2009. Le fabricant allemand de semi-conducteurs subit de plein fouet la crise, qui a décuplé ses pertes lors de l'exercice qu'il vient de clore. Celles-ci atteignent 3,1 milliards d'euros, dont 220 millions au quatrième trimestre.
Les difficultés de Qimonda sont pour une part non négligeable dans les contre-performances d'Infineon. Alors qu'elle mènerait actuellement des discussion avec des investisseurs stratégiques et financiers, la filiale spécialisée dans les mémoires DRAM a prévenu très récemment que "si aucune des initiatives qu'[elle] ne s'avérait réalisable et si l'environnement industriel continuait à se détériorer", elle pourrait être confrontée dès le premier trimestre 2009 à "un manque de liquidités dans une partie de ses activités, qui pourrait l'empêcher de fonctionner". Conséquence très dommageable en perspective, prévient aujourd'hui Infineon : il "n'a aucune assurance de pouvoir se séparer" de Qimonda.
AFP
Un horizon très sombre. Infineon verra son chiffre d'affaires céder au moins 15% et son résultat net être négatif en 2008-2009. Le fabricant allemand de semi-conducteurs subit de plein fouet la crise, qui a décuplé ses pertes lors de l'exercice qu'il vient de clore. Celles-ci atteignent 3,1 milliards d'euros, dont 220 millions au quatrième trimestre.
Les difficultés de Qimonda sont pour une part non négligeable dans les contre-performances d'Infineon. Alors qu'elle mènerait actuellement des discussion avec des investisseurs stratégiques et financiers, la filiale spécialisée dans les mémoires DRAM a prévenu très récemment que "si aucune des initiatives qu'[elle] ne s'avérait réalisable et si l'environnement industriel continuait à se détériorer", elle pourrait être confrontée dès le premier trimestre 2009 à "un manque de liquidités dans une partie de ses activités, qui pourrait l'empêcher de fonctionner". Conséquence très dommageable en perspective, prévient aujourd'hui Infineon : il "n'a aucune assurance de pouvoir se séparer" de Qimonda.
01 décembre 2008
PRUD-HOMMES: J-1
Votez pour vous, votez CFTC!
La CFTC s'engage :...
Pour des salaires plus justes!
Pour une participation des salariés aux décisions de l'entreprise....
Pour le droit à la santé au travail...
Pour un temps de travail respectueux de la vie privée...
La CFTC s'engage :...
Pour des salaires plus justes!
Pour une participation des salariés aux décisions de l'entreprise....
Pour le droit à la santé au travail...
Pour un temps de travail respectueux de la vie privée...
Quand faut-il voter ? le mercredi 3 décembre de 8h à 18h
Où faut-il voter? Sur site au B1
Comment voter :
- Pour vérifier si vous êtes inscrit pour ces élections et à quel endroit : http://www.prudhommes.gouv.fr/Verification-d-inscription.htmlnon
- Vous êtes autorisés à vous absenter de votre poste de travail pour vous rendre au bureau de vote et cela, sans perte de rémunération.
- Vous pouvez venir sans votre carte d’électeur si vous l'avez perdu ou jamais reçu : une pièce d’identité vous sera demandée (sont acceptés la carte nationale d’identité, le passeport, permis de conduire… et pour les électeurs étrangers le passeport, carte ou certificat de résident, carte de séjour temporaire…).
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